S’il n’en reste qu’une

Rachel,  journaliste australienne, part au Kurdistan Irakien pour faire un reportage sur les combattantes kurdes qui ont lutté contre Daesh et contre les islamistes turcs.
Au cimetière de Kobané, elle découvre que dans une même tombe  sont enterrées deux de ces combattantes : Tekochine et Gulistan. Intriguée, Rachel va enquêter et découvrir l’histoire d’une amitié folle entre ces deux femmes, combattantes au sein d’un même bataillon féminin, leur destin romanesque et mystérieux.

Le roman est construit comme une fresque épique en trois actes, qui nous mène aux frontières les plus extrêmes de l’absolu.
Au-delà d’une première lecture qui  décrit le courage et la force incroyables des combattantes contre Daesh, où leurs âmes sont mises à nu, c’est un livre sur le combat pour la liberté, le choix entre défendre son corps et défendre son âme de nos jours, mais aussi dans toutes les époques. Que peut-il y avoir en l’Homme dans sa condition humaine portée aux extrêmes ?

Partice Franseschi – qui s’est engagé auprès des combattantes Kurdes depuis le début de la guerre-  ne s’est pas interdit le suspens pour nous livrer un roman puissant, féminin et féministe.